Ã, ou A tilde, 10 septembre, 2008
Ã, ou A tilde, est un graphème utilisé dans les alphabets aroumain, kachoube, portugais et vietnamien. Il s’agit de la lettre A diacritée d’un tilde.
Ã, ou A tilde, est un graphème utilisé dans les alphabets aroumain, kachoube, portugais et vietnamien. Il s’agit de la lettre A diacritée d’un tilde.
En économie, l’utilité est une mesure du bien-être ou de la satisfaction obtenue par la consommation, ou du moins l’obtention, d’un bien ou d’un service. Elle est liée à la notion de besoin.
Au départ, la notion d’utilité était essentiellement liée à la prise de risque. La « Théorie sur la mesure du risque » de Daniel Bernoulli (1700 – 1782), et dans celle-ci, le Paradoxe de Saint-Pétersbourg furent à la base des théories économique et financière de l’aversion au risque, de la prime de risque et de l’utilité.
Le concept est utilisé dans les fonctions d’utilité, fonctions d’utilité sociale, optimum au sens de Wilfredo Pareto, boîtes d’Edgeworth. C’est un concept central de l’économie du bien-être. Pareto n’aimait d’ailleurs pas le terme, qu’il considérait chargé de trop de considérations morales. Il a proposé d’utiliser celui d’ophélimité, étymologiquement équivalent.
Dans le langage courant, l’adjectif esthétique est synonyme de beau, de joli. Et comme nom, esthétique est une notion désignant l’ensemble des caractéristiques qui déterminent l’apparence d’une chose, souvent synonyme de design ou d’aspect physique du corps humain.
L’esthétique est aussi un concept philosophique, caractérisant autant les émotions provoquées par une œuvre (ou certains gestes, attitudes, choses), les jugements de l’œuvre, que ce qui est spécifique ou singulier à une expression (artistique, littéraire, poétique, etc.), et qui pourrait se définir par exemple par une opposition à l’utile et au fonctionnel, ou bien par son rapport au beau ou aux sensations.
L’esthétique est également une branche de la philosophie, ayant pour objet les perceptions, les sens, le beau (dans la nature ou l’art), ainsi que toutes les formes et aspects de l’art. L’esthétique correspond au domaine désigné jusqu’au XIXe siècle par science du beau ou critique du goût, et englobe généralement la philosophie de l’art.
Le mot littérature (du latin littera, « lettre », puis litteratura, « écriture », « grammaire », « culture ») désigne principalement[1] :
Un livre est un document écrit transportable, formant une unité et conçu comme tel. Une telle définition est cependant parfois aujourd’hui remise en cause.
Le livre se divise en deux catégories : la littérature et les ouvrages de référence.
Voir « publication » sur le Wiktionnaire.
Le mot publication (du latin publicare, « rendre public ») désigne à l’origine l’action qui consiste à porter une information à la connaissance du public, à la « publier ». On parle ainsi de la publication d’une loi, des chiffres du chômage ou des résultats d’une entreprise.
Par extension, le terme a pris le sens d’impression, de parution ou de mise en vente d’une œuvre imprimée (journal, livre, etc.). Dans le langage courant, on donne le nom de publication à l’ouvrage publié lui-même (livre, article, magazine, document). On parle ainsi de publications scientifiques, de publications clandestines, de publications spécialisées, etc.
Enfin, dans un sens plus moderne, la publication désigne également la mise à disposition de données ou d’informations dans des environnements informatiques, en particulier sur des bases de données et sur Internet (publication en ligne, publication électronique). Le terme peut aussi être synonyme d’édition de documents, comme dans l’expression « publication assistée par ordinateur » (ou PAO).
Un journal est un document qui recense par ordre chronologique un certain nombre d’événements pour une période donnée (généralement une journée, d’où il tire son nom). Par extension, un journal désigne une publication regroupant des articles sur l’actualité du jour.
En sociologie, le public désigne l’ensemble des personnes qui s’intéressent à une œuvre intellectuelle, littéraire, artistique, par exemple. Ce sont donc les lecteurs d’un livre ou d’un journal, les spectateurs d’une pièce de théâtre ou d’un film, les téléspectateurs d’une émission de télévision, les internautes qui surfent sur internet. On parle aussi dans ce cas d’assistance ou d’auditoire. Le terme « public » rend ce sens là dès la fin du XVIIe siècle.
Le public, c’est également l’ensemble des gens qui fréquentent les commerces, les administrations, les transports publics, etc., en général les services qui, précisément, sont ouverts au public. On parle aussi dans ce cas de clientèle ou d’usagers.
C’est plus généralement l’ensemble des habitants d’une région, d’un pays, voire du monde. On parle alors de grand public, par opposition aux publics spécialisés qui sont intéressés ou attirés par tel ou tel média, plus ou moins spécialisé.
Le public est donc une masse de gens non structurée, mais qui permet de déceler des tendances dans l’opinion, les idées, la mode, etc. Pour connaître ces courants d’idées, on recourt aux sondages d’opinion, qui permettent de préciser les tendance de l’opinion publique.
Le public désigne aussi souvent le secteur public, c’est-à-dire l’ensemble des administrations et entreprises gérés, directement ou indirectement par l’État et les collectivités locales, par opposition au privé (le secteur privé).
Voir « public » sur le Wiktionnaire.
Le mot public (du latin publicus) peut être employé en tant que nom commun et adjectif :
En programmation orientée objet,
En économie :
Également :
Voir « annonce » sur le Wiktionnaire.
Une annonce est une déclaration qui est le plus souvent ouverte et publique.